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Lala & the cobras

20 janvier 2011

Le pouvoir des yeux est qu'on peut les fermé à tout moment.

Il me semble, que, J'ai perdu toute envie d'écrire. Mais j'ai jeté un coup d'oeil sur ce blog, et j'me suis dis que c'était bête de le laisser... Alors voilà, J'suis en post-période brevet blanc, et aprés c'est les vacances de février. Je pense ouvrire un nouveau blog et m'y remettre, à écrire, seulement, plus tard.

Je sors trop, ça me laisse toute stone, j'fais plus quoi que ce soit.

Ah si, j'ai eu 21/20 en Art Plastique. =) Seule déclaration positive sur une éventuelle petite graine de créativité qui voudrait bien sommeillé en moi. WAKE UP!!!

C'est pas un article trés intéréssant mais j'dois dire que j'aimerais bien ne pas "me mettre à fond" ce soir. Bientôt, je m'exhilerai pendant un certains temps, dans ma chambre, avec toi, petit ordinateur, avec toi, petit NoteBook pas tellement rempli, et avec vous, pinceaux et peinture.

Je m'enflamme, me consume. Mais qu'est-ce que je fous bordel??

Il me semble, que, je suis pas si heureuse que je le pensais en fait. Depuis quelque temps, j'suis plus trop moi. Je sais pas, j'suis un peu perdue j'crois.

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4 novembre 2010

Résumé des NoteBook différents.

NoteBook n°1: "Human's Fuck" (InoticedYou/IseeYou/I'mWatchingYou/I'llKillYou.)

09/09/2009-Janvier 2010

C'était assez glauque à l'époque, et j'avais mon tripe sur l'anglais aussi, enfin, sauf que je le maitrise pas super trop bien donc voilà. Haha.

NoteBook n°2: "The Human's Royal Fuck" (Holy holy Human, Holy holy Misery)

03/02/2010-Mai 2010

Nettement mieux que le premier, l'idée est plus présente et je ne prends plus mes cours dessus aussi. En faite, c'est le vrai 1er NB, comme si "Human's Fuck" était une maquette de "The Human's Royal Fuck". Il évoque la cruauté humaine donc, beaucoup de dessins représentant une petite fille nommée Grenade, je la mettait en scène avec des grenades, des masques à gaz, etc...  J'y parle aussi de ma haine envers la religion, qui est maintenant, moins genre... j'suis plus ouverte quand même, hein faut pas croire, j'étais assez glauque quand même. "Je suis le gaz tué par arme blanche"

NoteBook n°3: "Enucleation Procedure"

#prononcé à l'anglaise stp#

Avril 2010-Juin 2010

NoteBook trés bref, rien de vraiment intérressant, à part qu'il y a mes premiers écris concernant les papillons, mais c'est tout. Beaucoup de dessins mais primitifs. C'est vraiment à chier.

NoteBook n°4: "La Démagogie de l'Homme sans veine"

Juillet 2010-fin Aout 2010

Ecris pendant les vacances, il est assez court aussi, pas mal de poésie, assez candide d'ailleurs genre "Sur tes lèvres se pose un sourrire, un entremet d'insouffrance. J'ai vu naître une hirondelle. Assez cruelle pour vivre avec ceux qui ressemble tous. (...) J'ai vu mourir un corbeau déguisé en hirondelle."

C'est dans ce NoteB d'ailleur qu'est né la plupart des histoire de "La perversité des papillons", nottament, l'idée d'un couple aux abords skyzofrène qui s'entretues sans se connaître, mon dernier message publié sur ce blog donc, "L'homme sans veine rira peut-être".

"Un rêve s'est tapit au creux de mon âme et l'a arrachée. Pour toujours, je ne chercherai le bonheur dans un imaginaire insolent."

J'ai aussi fait quelques texte sur Grenade que j'ai finalement baptisé Jeanne, personnage principal d'un récit que j'écris depuis quelques jours, qui, je le promet, prend toutes mes tripes. Une idée qui me trotait dans la tête depuis quelques temps. Ceux qui me voient fréquement déssiné une femme-cerf ou une femme-élan comprendront.

Bref, le NoteBook n°5: "La perversité des papillons"

11/10/2010-?

NoteBook actuel, j'y mets toutes mes tripes dans celui-là. "La perversité des papillons" est aussi est surtout un recueil de nouvelle qui sont dans ma tête depuis un p'tit bout de temps déjà, et donc, dans mes article précédents, je parlais d'écrire un bouquin, c'est donc sur ça que je compte aprouvé ce défis. Le plus dur est de mettre tout ces scénarios par écris, et autant le dire, j'ai à apprendre. Mais j'espère poursuivre dans un bon trip.

Voilà.

1 novembre 2010

L'homme sans veine rira peut-être.

-Bun' bordel, mais bordel de merde, mais pourquoi t'as souffler??

-Je... J'pensais que...

-Tu pensais que quoi?? Tu pensais que c'était pour toi, c'est ça??

-Ou-oui, j'ai cru que...

-Oh t'as cru?! C'est vrai oui, j'ai fais tout ça en unique but de faire plaisir à mon cher petit Bun'Bunny Nouille!! Mais bordel, en plus d'être un incapable, tu fous ta misère partout, hein, tu peux pas t'empêcher de laisser quelque chose de bien sans que t'y mette ton putain de grain de sel!!

-J'suis désolé!

-Mais j'en ai rien à foutre que tu sois désolé!!! (Il fit quelques pas) Bordel de merde, mais va te faire foutre!

Bundy pris le chemin de sa "chambre", il passa devant ce magnifique gâteau dont il avait soufflé les bougies: c'était son anniversaires il y a deux jours, et personne ne sembla s'en rappeller. Maintenant, Ow trouvait le gâteau imprésentable, d'un côté, il avait un peu raison, le sucre glace était pratiquement parti et les bougies avait étée soufflées. Mais Bundy ne lui en voulait pas, non, il s'en voulait à lui.

Le parquet grinçait sous les roues du fauteil, en particulier sur cette latte qui, depuis quelques semaines, se faisait un peu bruyante sous chaques pas que faisait les occupants de cet appartement. Ow, Bun' et les autres s'y était habitués depuis: le bois qui craque, qui grince, les poutres qui se mouvent de leurs âge. Car en effet, l'appartement de la rue des rosquille était un viel appartement, un viel appartement qui ressemblait à rien d'autre qu'à un viel appartement au mieux de sa déffinition.

Bundy ferma sa porte, il avait un peu de mal avec ces systèmes depuis qu'il était en fauteil, à chaque fois qu'il s'en servait, la porte se prenait dans la roue: entre le pneu et la barre circulaire que ses mains connaissait déjà par coeur. Tout d'un coup il entendit la sonnette retentire, il s'mmobilisa. Il devina les pas de Ow et la porte s'ouvrir. L'oreille posée sur le bois, il écouta l'invité, il connaissait cette voix silencieusement muette aussi bien que la beauté de cette fille: Paname Matus. Pam' pour les intimes. Bun' était amoureux d'elle avant même de connaître son nom, elle était petite et fine, singulière, posée. Elle n'était pas magnifiquement belle, mais elle était attirante, et ça, ça compte bien plus. Son visage était comme un livre ouvert, mais un livre illisible. Ses yeux avait une couleurs fabuleuse, sans doute, ses cheveux aussi, mais Bun' en avait rien à foutre, il ne se focalisé pas sur ça. Il voyait son intérieur, il était fasciné sur son envie des choses autant que sur son énergie qu'elle envoyait.

Alors il pensa, que, peut-être il pourrait aller la voir, et lui souhaiter un bon et heureux anniversaires. Il ouvra la porte, pris par le courage, ses mains glissaient sur les roues. Il arriva dans le salon, là, Pam' se retourna, elle avait 17 ans, elle était vétûe d'une robe d'un rose un peu laid, agréablement trop courte, ses jambes étaient fourrés dans des vielles bottes de pluies vertes, pourtant, il ne pleuvait pas. Pam' souriait, Ow l'avait accueilli avec des fleurs, Bun' la trouvée ravissante, elle avait 17 ans.

-"Joyeux anniversaire Paname."

Paname ouvra les yeux, elle se trouvais au bord de la mer, là où les cendres de Bundy Owsiller, mort 20 années pile aprés sa naissances, avait été dispersées. S'il aurait survécu, il serait handicapé, certe, et Pam' ne lui aurait jamais parlé. En faite, Pam' ne lui a jamais parler, elle connaissait Bun' depuis qu'elle l'avait retrouvé lors d'une balade matinale, le jours de ses 16 ans, dans un léger courant d'eau, le crâne fracassé, les veines ouvertes. Quelques heures aprés l'annonce officiel de son suicide, on avait trouvé des photos de Paname, des centaines de clichés dans son portable.

Il pleuvait depuis ce matin, elle se leva, ça faisait 1 an, un an qu'elle cherchait qui pouvait être cet homme, obsédé par elle. Les Owsillers lui avait décris un garçon énervé, impatient et aggressif. En allant dans sa chambre, en observant son visage mort, en lisant son blog, elle y avait découvert un garçon bléssé. Ses veines arrachées en était la preuve. Mais elle avait surtout apris qu'il était lunatique, et ça le dérangé, ça le démangé, ça l'écorchait.

Elle marcha le long de la mère et sorti de la plage, elle longea des maisons brûlées, jusqu'à la rue des rosquilles. Là, elle leva la tête, elle sourit. Elle avait trouvé cette ruine durant la semaine qui avait suivi le suicide de Bundy Owsiller, là où elle avait commencé à imaginer le connaître, à s'imaginer dans sa tête, dans la tête du Bun' bléssés, ou du Ow aggressif suivant ses humeurs. Elle monta dans les décombres, elle sonna à son QG, bien sûr, il n'y avait jamais personne, mais ça l'amusait, elle "faisait comme si" elle jouait son propre rôle dans la scène qu'elle venait d'imaginer, là sur la plage. Elle rentra, ferma la porte, trouva un gâteau, acheté à la hâte dans une épicerie, celles ouvertes la nuit. Il avait une sale gueule, elle s'assit près de la table, pris le gâteau, il coulait dans ses mains. Elle essaya "Joyeux anniversaire Paname.", auccun son, "joyeux anniversaires". Aujourd'hui, cela faisait 17 ans pile qu'auccun son ne sortait de sa bouche, 17 ans que Pam' ne pouvait rien dire. Le gâteau était au chocolat. Elle en rempli sa bouche, elle en rempli ses narrines. Elle suffoca, suffoca, et elle s'éteignit.

Le planché grinçat quand son corp s'y allongea. Aujourd'hui, Paname Matus avait 17 ans, elle mourat en mangeant du gâteau au chocolat que personne ne s'était emprésse de soufflé avant elle. Elle avait oublié les bougies d'ailleurs, mais elle n'avait pas vraiment d'âge, elle avait aussi 21 ans depuis quelques jours, 21 années masculines.

Ils ne se connaissait pas, mais ils étaient fasciné l'un de l'autre, et d'une certaine façon, ils se sont entretués.

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29 octobre 2010

Il est dans les déserts un sable qui ne connait que l'immensité des choses. Infiniment grandiose et imposant que son être.

J'ai rêvé d'une pluie noire qui, s'écoulant à tout va sur les choses, les faisant disparaître, m'a promie de me noyer dans sa force de la teinte.

Atteinte à mes rêves quand la pluie tombent transparente et sans couleurs. Atteinte à ma noyade, morte, il y aura toujours ce cadavres mouillé, atteinte à la vue quand le monde pleurera et qu'il ne pourra pas se cacher.

Je n'ai pas rêvé d'une atteinte à ma pluie noire. En réalité, je n'ai même pas rêver; mes rêves sont ni décris, ni à décrire. Ils sont bizares, c'est tout.

Ce sont tout simplement des songes. Et la pluie noire les effacera.

Photo pas de moi, trouvée sur le net, mais auccun nom de l'auteur.

waaaaa

25 octobre 2010

Peut on aérer, le ciel est pleins de fumée!

Alors, déjà, j'écoute "Walk the line" de Johnny Cash en boucle depuis c'matin, parce que j'ai aucune envie de sortir de ma baraque. De cette baraque où la musique est la mienne.

Concert génial au fait.

J'ai envie de voyager en ce moment, malheureusement, vacances présente, je ne fais rien. On dirait que c'est aussi difficile de pourrir le froid d'ici. Il fait moche, et à Franconville, c'est un peu comme si personne n'était humain. Avec des couleurs, c'est si... perturbant. Tellement que je m'inviterai bien dans la peinture mais je n'ai pas de papier.

On est lundi matin, je voulais aller à Cultura pour acheter des magasines, Rise, Elegy ou Beaux Arts, mais avec 8E, j'aurais pu en acheter qu'un seul et puis j'ai la flemme surtout, une grande flemme.

J'ai rien de trés intérressant à raconter aujourd'hui, à part que je suis à fond sur Tim Burton en ce moment, j'me retape tout ses grands classiques.

Envie de voir du monde, du paysage...

Baroudeur.

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20 octobre 2010

La boîte à gomettes

Quand je dis "gomette", j'ai en tête le gros rond en papier rouge qui ne colle pas. Ce même gros rond rouge, tu le collais sur le nez de celui que tu n'aimais pas en maternelle, tu te souviens?

Peut-être pas.

C'est bête, j'ai jamais vraiment compris pourquoi "GOMMEtte", une gomme, ça sert bien à effacer? Hmm? Oui, on est tous d'accord, alors pourquoi, un petit autocollant -qui colle, donc- s'appelle une gommette..?

Telle est la question!

Trève de plaisantrie, la boîte à gommette est une boîte dans laquelle tu peux y mettre toutes les choses que tu veux, ormis des gommette.

C'est comme ça point final.

MAIS, est-ce que tu t'es déjà demandé à quoi ressemblerai ta misérable vie si tu étais une gommette? (faut dire ça aux suicidaires..) Ta vie, si tu étais une gommette, disons, couleur rose savon par exemple, il n'y aurais que des gosses (enfin majoritairement, hein!), et que des gosses du groupe rose savon, qui te prendrai, te décollerai de ton joli papier brillant, te serrerai dans leurs petits doigts pleins de peinture, et, de leurs pouce, te collerai derrières leurs plus beau dessins, représentant une maison et leurs famille -amèrement coloriés-, la maîtresse, un cheval, etc... Tu sens une pression sur ta sale face de gommette, et tu restes là jusqu'à ce que ton joli dessin, 20 ans plus tard, soit sans doutes mis en boule. Tu te retrouve un peu plié contre le papier et la tu vois, une gommette bleue, oui, bleue, car après que tu es quitté ta boîte à gommette, aprés que tu es dis au revoir à tes frères et soeurs (issus du même tirage), le petit enfant qui t'avais déssiné avait grandi, et, comme de classe, il avait aussi changé de groupe, le groupe des bleus, "bleu de cobalt" même. Sur le dessins sur lequel la bleue avait étée collée avec hâte, on y voyait une maison en flamme, un petit bonhomme seul, et d'autres, plus grands, à terre. On le voyait car le dessin était froissé de sorte que l'angle où était la jolie bleue venait rencontré la patte arrière du chien. Toi, tu ne savais pas sur quel genre de dessin tu étais collé, seulement, tu savais que l'enfant était heureux quand il t'avait déposé, et ça t'a suffit.

D'un coup, le sac noir dans lequel on t'avais déposé s'est bousculer, une main t'a attrapé, toi et ton dessin. Surtout le dessin. Au bout d'un certain temps, quand tu aura le regard rivé sur les chaussures de celui qui t'auras pris depuis bien un quart d'heure, le doigt, même la pulpe de doigt de cet individu se décallera pour se rattarper sur tes pommettes, et tu sentira, que cette peau était celle qui t'avais collé. Le papier vibra pendant une seconde, et s'arrétta, net. Et recommença, et s'arrêta, tu ne comprendra pas. Puis, on te froissera à nouveau, on te jettera, avec violence cette fois-ci, et dans ton coin, entre un bureau et une étagère, le doigt t'auras libéré la vue. Tu verras que sur la feuille qui s'était venue se replier sur toi, une trace humide au goût salé avait traversé le papier. Ce serra la première larme que tu connaîtra, car aprés il y aura les tiennes.

Deux jours plus tard, une main, celle que tu reconnaîtra comme étant celle de la maîtresse, te prendra et te replacera avec la bleue, ainsi, tu comprendra petite gommette rose savon, que t'as vie aura servie à identifier un élève pendant une seconde, pour un dessin, pour un souvenir, pour quelques pleurs. Le dessin que tu porte, tu ne le connaîtra jamais, peut être est est-ce un dinnosaure, maman qui fait la cuisine dans sa vieille cuisinière à gaz, ou papa qui fume une cigarette.

Peut être, petite gommette, peut être que tu as servie qu'à ça mais petite gommette, tu es la seule à connaître aussi parfaitement le derrière d'une oeuvre d'art.

Et la haine d'un enfant.

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10 octobre 2010

Pourri leurs fleurs-Anomalie.

Longtemps que je n'ai pas écris, enfin je trouve.

La haine des gens, et cette passivité, m'horrifie. Les humains sont pourvus de beaucoup de compétences, et voilà comment ils les utilisent...

Pessimisme.

Abusement.

Violence.

Haine.

Tout est objet...

Trève d'affreusitée,

Dans les vieux arbres, je suis grimpé, et j'ai arraché des feuilles naissantes. Les feuilles, je les ai laché, et elle ont volé jusqu'à la terre, voir l'herbe et les racines.

Il a suffit d'une seule main pour combler ce désastre.

Je réamménage ma chambre -encore une fois-, comme si je ne savais pas vers quel mur dormir, mais je les décore tous.

Incendie.

On est au mois d'Octobre, déjà, c'est mon mois préféré, je ne sais pas pourquoi, peut être à cause de l'automne, d'Halloween, des vacances...

ENFIN, moi j'essais d'être heureuse dans ce monde étouffant, bon c'est pas d'la deprime, hein, mais faut être réalliste, on dérive tout les jours un peu plus! Voilà, et maintenant, accroche un sourrir à ta face de tronche de cake!! ^^

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22 septembre 2010

Cette minute me semble être un moment parfait.

7h, la rue est encore froide, le sol semble triste, comme si on l'avait battu pendant la nuit. Pendant un instant, j'ai voulu m'étaler, completement engloutir cette terre, la réconfortée. Puis, à genou sur le bitume, je me suis rappeler combien il était dur de guérir un mal, et de toute façon, ce n'était que des gravillons et du goudron, confection humaine, je me suis levée.

Comme si les larmes pouvait envellopé le froid, à cette fraction de seconde, j'eue un dernier espoir, et au lieu de regarder par terre, j'ai dirigé mon regard, loin, trés loin devant. Sans pour autant savoir si ce que je faisai était censé, j'ai soulevé la lanière de mon sac qui pesait, comme pèse une souffrance pas vraiment claire, j'ai surelevé cette vieille besace au dessus de mon crâne, et, de toute la haine dont j'étais capable, toute la compassion, toute la colère, la violence, j'ai jetais cette chose contre le sol. A mon plus grand regret, ça ne fit aucun bruit, aucune secousse. Juste un sac rouge sur une route qu'une dizaine de personne devait traverser chaque jours, un sac rouge et ridicule, ridicul rouge muet, sur un passage où il ne s'était jamis rien passé. Ici, personne n'est mort, personne n'est naît, personne n'a dit quoique ce soit à personne et les gens qui passait par là étaient condamnés à rester "personne".

J'ai dit: "cest fou comme on est rien sur cette putain d'planète", et j'eue l'impression de ne pas m'entendre moi même, je ne me reconnais pas dans ma voix. Alors j'ai crier plus fort: "C'EST FOU COMME ON EST RIEN SUR CETTE PUTAIN D'PLANETE!!!!". J'ai ramasser mon sac, et est continuer mon chemin.

Mes mots résonnaient dans ma tête. L'intonnation n'y était pas. Je rééssairai demain.

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20 septembre 2010

Battez les tambours au rythme cardiac, battez les sonates au son météors.

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J'ai enfin eu ces foutue places: AqME+Headcharger. Le 21 Octobre au nouveau Casino, je serai là en compagnie de Célia! C'est elle-->

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(eheh, t'avais qu'à te laisser photographié!!) Cette photo a étée prise entre le momment où elle a su que j'allais la prendre en photo, et celui où elle a cachait son joli visage de ses deux mains. ça donne un certains effet de"je m'aprête à prier"... (ou à éternuer, c'est à débattre)

Eh oui, ce concert si j'en parle tant c'est que c'est mon premier concert! Enfin, pour une "amoureuse du rock", c'est pas trop tôt... C'est que mes parents sont un peu... ummmh... vous voyez? Oui protecteurs, c'est ça, oui on va simplifier, protecteurs....

Pour mon bouquin, j'y suis à peu près, j'ai presque que l'idée, mais je ne la dévoilerais pas encore.

Limace lisse comme glace et glisse aux rebords de nos traces.

Naan, c'est pas ça le titre, mais j'ai juste eu envie de placer ce petit truc. J'ai commencé le patinage artistique cette semaine. Je suis débutante, et ça se voit, mais bon, je me suis dit: "cette année, tu vas sportitivationner" alors j'ai mis toutes les chances de mon côter pour m'affiner. C'est vrai que pas trés original pour une fille que de vouloir garder sa ligne. Déjà en avoir une (naan mais j'ai pas dit que j'étais grosse!!).

Sans doute, le week end prochains, je participerai à un grand nettoyage de l'environnement, alors qui m'aime me suive. Et oui, j'aime la nature et depuis mon entrée au collège, j'ai plus trop fait attention, alors je me remets gentiment dans le bain de l'écolo et de la Greenpeace.

  Mes murs sont remplis d'image, de photos, de détritus en tout genres. Moi, ça me plaît.

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11 septembre 2010

Et tes mains pleines de dentifrice...

Comme on le dit souvent, la routine est deprimante.

La rentrée est faite, la routine installée.

Alors on recommence, on recommence. Mais j'vais sans doute passé une bonne année, ça va, et j'ai des projets: aller en Angleterre en famille d'accueil pour l'été 2011.

SUMMER 2011 <3

Bref, et comme des projets ne viennent jamais seuls, je vais écrire un bouquin.

Oui, c'est ça, j'vais écrire un bouquin. Parfaitement.

C'est bizare, comme les mots explosent dans ma tête, ils sont invisible lorsque se dresse devant moi une feuille et un crayon, ou surtout, un clavier. Mais je n'ai aucune preuve. Peut être un jour...

En faite, je crois sincerement que je n'aime pas tout ce qu'y est "ordinateur", vous voyez? Bien que je les utilise mais comme si je cherchai toujours un moyen de les rabaisser, il y a quelque chose que je haïs dans les ordinateurs, la télévison, les téléphones.

"Les images défilent et t'hypnotize"

Je suis ce que je devrai être, ou comment ne pas ressentir un dégout envers le monde actuel (et artificiel) quand on fait semblant de l'admirer et de jouer le pion comme les autres, qui jouent à leurs tours.

"Tout ceci n'est qu'un immense Monopoly géant, une énorme mascarade.." Et tout le monde a eu la même idée de déguisement: clowns, sorcières, princesses, cowboys...

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Mais il vaut mieux se taire les yeux ouverts, ou gueuler les yeux fermés car ici tout se suit, tout se confond et tout se ressemble. Au final, tout est rien, et nous sommes des allumés.

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